Selon nos sources, les nouvelles autorités du Sénégal seraient en train de voir comment inciter les lutteurs à payer aussi leurs impôts. C’est dire que le fisc est déjà aux portes de l’arène.
Le milieu de la lutte est un monde à part. Le professionnalisme n’y est pas encore effectif. Et pour le moment, les acteurs de la lutte n’ont pas une grande utilité fiscale pour le pays, puisqu’ils ne sont pas encore mis sous astreinte fiscale.
Tout le monde sait que le président de la République Bassirou Diomaye Faye et son Premier ministre Ousmane Sonko, qui sont des inspecteurs des impôts de métier, sont en train d’exploiter toutes les niches possibles pour élargir l’assiette fiscale du Sénégal. Voilà pourquoi beaucoup d’entreprises, à l’image de celles du secteur des médias, pleurent depuis un certain temps à cause de ce que les patrons de presse qualifient de forte «pression fiscale».
Que les lutteurs, pour ne pas dire tous les acteurs de la lutte, se préparent eux-aussi à vivre leur première expérience fiscale. Selon les informations de Luttetv.com, le fisc est en train de voir comment Modou Lô et consorts pourraient payer leurs impôts comme tous les citoyens.
En effet, les lutteurs devraient déclarer l’intégralité de leurs cachets au CNG de lutte. C’est donc en fonction de leurs revenus que chacun d’eux pourrait avoir une idée assez claire du montant fiscal à débourser.
Déjà, de la peur au ventre des lutteurs !
Abdoulaye DEMBÉLÉ